Au chai, Marc Plouzeau, le vigneron du domaine, nous a expliqué comment les grappes de raisins sont réceptionnées au moment des vendanges, et comment le jus de raisin et transformé en alcool. Marc nous a ensuite détaillé le mécanisme de  la fermentation malolactique et les différences d'élevage en cuve et en barrique.

Une fois que l'élevage du vin est terminé, ce qui peut durer jusqu'à 18 mois après les vendanges selon l'année et la cuvée, le vin est mise en bouteille au domaine.  Marc nous a montré les machines utilisées pour la mise en bouteille et l'étiquetage.

 

Nous avons ensuite participé à un atelier pour nous aider à identifier les arômes trouvés dans le vin.  Ce n'est pas aussi facile qu'on le croit !

 

Avant de passer à table pour le repas de midi, nous avons dégusté un des vins pétillants du domaine, Les Perles Fines.  Pendant le repas nous avons continué la dégustation avec un Chenin blanc, et deux des vins rouges du domaine, le Clos de la Bonnelière et la Chapelle.

 

La cave du domaine se situe en-dessous de la Forteresse de Chinon, dans une des galeries creusées pour extraire les pierres utilisées dans la construction du château.  Dans ce lieu magique, nous avons vu où les barriques seront amenées pour continuer l'élevage de vin.

Nous avons dégusté 4 vins en cours d'élevage du millésime 2013. Les 3 premiers, tous issus du Clos de la Bonnelière, la parcelle où se trouvent les pieds de vigne adoptés des clients de Gourmet Odyssey, mais élevés soit en cuve, soit en barrique neuve, soit en barrique d'occasion.  Et puis pour une comparaison avec un terroir différent, nous avons dégusté un vin de la Chapelle élevé en barrique.

 

La journée s'est terminée avec des assemblages de ces 4 vins différents.  En utilisant les éprouvettes, nous avons assemblés plusieurs vins pour mieux se rendre compte des différentes caractéristiques de chaque vin, et des caractéristiques qui ressortaient avec l'assemblage.

 

Un grand merci à tous nos participants et à Marc pour avoir partagé sa passion pour son métier !

 

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Pendant la matinée nous avons visité la cuverie pour suivre le chemin du raisin.  Nous avons d'abord vu l'endroit ou les raisins sont réceptionné et mis dans les pressoirs.  Ici, Pierre du Domaine Jean-Marc Brocard nous a expliqué comment les pressoirs fonctionnent et comment le jus est ensuite mis en cuve.

 

 

 

Pierre nous a également parlé de la fermentation alcoolique et de la fermentation malo-lactique.  Les vins du millésime 2013 ont tous fini la fermentation alcoolique et sont en cours de fermentation malo-lactique qui va donner plus de rondeur aux vins. Nous avons fait un arrêt à la cuve de la Boissonneuse pour une première dégustation du vin que les clients du millésime 2013 recevront l'année prochaine, une fois l'élevage terminé.  A ce stade de son élevage, le vin est toujours un peu trouble, ce qui est tout à fait normal.  Le vin est loin d'être fini, mais nous avons pu constater une belle concentration et un équilibre potentiel.

 

 

Une fois l'élevage terminé, la mise en bouteille s'effectue dans le bâtiment à côté.  Pierre nous a montré la chaîne de machines pour nettoyer les bouteilles, mettre le vin dans les bouteilles et pour mettre le bouchon ou la capsule.  Les bouteilles passent ensuite par la machine d'étiquetage avant d'être mis en carton prêt pour l'expédition.  C'est un sacré installation de machines, très impressionnante à voir !

 

 

Nous avons aussi organisé plusieurs ateliers autour de la dégustation de vin.  Pour nous entraîner, nous avons commencé avec un atelier sur les arômes trouvé dans le vin blanc.  Un exercice qui peut être frustrant lorsqu'on reconnaît un arôme mais on est incapable de mettre un nom dessus !  Puis nous avons dégusté de l'eau sucrée, salée, acide et amer afin de mieux comprendre comment on peut sentir ces goûts sur les différents endroits de la langue.

 

 

Nous étions désormais bien préparés pour déguster des vins!  A l'aveugle, nous avons dégusté trois séries de vins pour essayer de deviner leurs différences.

 

 

La dégustation a continué pendant le repas avec des millésimes différents de la Boissonneuse, la cuvée choisie pour l'Expérience Vin.
Après toutes ces dégustations, nous avons pris un grand bol d'air frais et sommes allés à la parcelle de vigne « La Boissonneuse » pour voir les ceps adoptés et prendre quelques photos.

 

 

De retour au domaine, nous avons visité la coupe géologique au sous-sol pour mieux comprendre le sol kimméridgien qui donne  l'originalité aux vins de Chablis. Et pour finir la journée, nous avons dégusté le millésime 2012 de La Boissonneuse.  Ce vin est presque à la fin de son élevage et sera bientôt mis en bouteille !

 

 

Un grand merci a tous nos clients qui ont participé !

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C'est au chai que nous avons débuté la journée avec Christine Nadalié, vigneronne du domaine. Elle nous a expliqué comment les raisins étaient réceptionnés pendant les vendanges et comment le jus de raisin se transforme en alcool pendant la fermentation.

A côté, dans le chai à barriques, Christine nous a expliqué le travail effectué pendant l'élevage du vin comme le bâtonnage et l'ouillage.  Christine vient d'une famille de tonneliers, elle nous a donc fait entrevoir le monde fascinant des tonneaux et nous a parlé du mariage entre le chêne et le vin.

Après la visite du chai,  il était prévu de visiter les pieds de vigne adoptés.  A ce moment là le samedi il a commencé à pleuvoir fortement, nous avons donc changé de planning, mais le dimanche nous avons mis les bottes pour braver la boue et aller à la rencontre de nos pieds de vigne !

La Journée Vinification est le stage où nous dégustons le plus de vin.  Pour nous aider décrire ce que l'on déguste, nous avons organisé un atelier pour identifier les arômes que l'on peut trouver dans le vin.  Et ce n'est pas aussi facile qu'on le croit !

Nous avons ensuite dégusté trois vins qui sont toujours en cours d'élevage.  Tous les trois issu du même cépage Cabernet Sauvignon à l'origine, mais chacun est élevé dans un type de barrique différent.  C'est surprenant de sentir et de goûter les différences très fortes entre les trois vins !

Puis, nous avons dégusté quelques vins déjà finis du château pour accompagner le repas au restaurant « 1902 » qui appartient à la Tonnellerie Nadalié.

L'après-midi a été consacré à l'assemblage de vins en utilisant les quatre cépages principal du domaine, le Cabernet Sauvignon, le Cabernet Franc, le Merlot et le Malbec.  Nous avons d'abord dégusté chaque cépage séparément pour apprendre les caractéristiques de chacun et ce qu'il apporte au vin final.

Puis en petits groupes, nous avons réalisé plusieurs assemblages pour voir concrètement comment on peut faire des vins totalement différents, par exemple plus accentué sur le fruit ou sur la longueur.

A la fin chaque groupe devait choisir leur meilleur assemblage pour le présenter à l'oeil, au nez et au palais désormais aiguisés de Christine et du reste du groupe !

Une journée riche en information, arômes et saveurs !

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Château Beau Rivage

• 8-11 novembre, Salon des Vignerons Indépendants, Reims - Parc des Expos, Stand P4 - Hall 1. Invitation gratuite.
• 15-18 novembre, Salon des Vignerons Indépendants, Lille - Grand Palais, Hall Paris/Bruxelles, Stand F20. Invitation gratuite.
• 28 novembre - 2 décembre, Salon des Vignerons Indépendants, Paris - Porte de Versailles, Stand H70. Invitation gratuite.

 

Domaine Stentz-Buecher

• 28 novembre - 2 décembre, Salon des Vignerons Indépendants, Paris - Porte de Versailles. Invitation gratuite.
• 14-29 décembre, marché de Noël Alsacien, Paris - Parvis de la gare de l'Est. Entrée Libre.

 

Domaine Allegria

• 22, 23 et 24 novembre, Journées d'entraide de la Marine, Paris - Invalides
• 8 décembre, Rencontre Oenophiles des Grandes Ecoles Paris - Maison des Polytechniciens

Evènements sur invitation, merci de nous contacter.

 

Domaine Jean-Marc Brocard

• 15, 16 et 17 novembre, Marché des Plaisirs Gourmands, Mâcon - Parc des Expositions. 

Invitation gratuite : merci de nous contacter.

  

 

 

Domaine la Cabotte

• 23 novembre de 10h à 17h , journée Portes Ouvertes « Première réunion de famille »

Dégustation de Champagnes et vins de la famille Plumet et d'Ardhuy (Bourgognes du Domaine d'Ardhuy, Champagnes du domaine Jean-Marie Massonnot, et Côtes du Rhône du Domaine la Cabotte). Mondragon, Domaine la Cabotte (plan). Entrée libre.

 

 

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Marc Plouzeau, le vigneron du domaine, nous a réservé la parcelle du « Clos de la Bonnelière » à vendanger car c'est ici où se trouvent les pieds de vigne adoptés par les clients de Gourmet Odyssey.

Nous avons commencé les journées avec la répartition du matériel essentiel pour un vendangeur ;  un seau et une paire de sécateurs !  Après les instructions sur comment vendanger, nous nous sommes éparpillés dans la vigne pour vendanger les rangs à deux personnes.

Tous les dix mètres se trouvaient des cagettes, et une fois le seau rempli, il fallait le vider dans une des cagettes.  Le groupe était très enthousiaste et la récolte de raisins prometteuse : les cagettes se remplissaient vite !  Il a même fallu aller chercher des nouvelles cagettes pour approvisionner nos vendangeurs remontés à bloc !

Quand nous avons fini les premières rangées, quelques braves volontaires on aidé à charger les cagettes pleines, d'abord sur la plateforme derrière le petit tracteur, et ensuite sur le camion.  Les vendanges ne se résument pas qu'à la coupe du raisin !

A tour de rôles, nous avons ensuite suivi le chemin de raisin jusqu'au chai pour participer au tri.  Les grappes de raisin ont été vidées des cagettes sur le tapis roulant de la table de tri,  et nous avons enlevé les raisins pas assez mûrs et ceux où la pourriture s'était installée.  Mais vu l'humidité des semaines précédentes, il n'y avait vraiment pas beaucoup de pourriture cette année.

Au bout de la table de tri, les grappes tombaient dans l'égrappoir qui sépare la rafle des baies de raisins.  Et les baies tombaient dans un chariot en-dessous.

Nous avons mis la récolte dans deux cuves séparées.  Avec l'aide d'un chariot élévateur la première partie a été mise dans une cuve en inox comme c'est la coutume au domaine, pour le Clos de la Bonnelière.

Cette année, Marc fait aussi un essai avec des demi-muids, des grands tonneaux d'une capacité de 600 litres.  Nous avons donc mis l'autre partie de la récolte dans une de ces barriques pour fermenter directement dedans.  L'idée est de donner un peu plus de structure au vin, mais il faudra attendre quelques mois avant de voir le résultat !

Après ces deux matinées de travail bien chargées, l'apéritif été bien mérité !  Sous le hangar à côté de la vigne, nous avons dégusté le délicieux vin pétillant naturel du domaine, le « Perle Sauvage ».

Le repas des vendangeurs a été servi dans la grange et nous avons continué la dégustation avec la Touraine Chenin, un vin blanc  issu de Chenin Blanc, et les Chinons rouges, « Clos de la Bonnelière » 2011, et « Chapelle » 2010.

L'après-midi nous sommes retournés dans la vigne pour trouver nos pieds de vigne adoptés, l'occasion de prendre quelques photos de plus !

La journée s'est terminée au chai.  Là Marc nous a expliqué comment les vins sont travaillés pendant la fermentation, et nous avons fini avec une dernière dégustation de deux jus de raisin.  Le premier avant  le début de la fermentation, et le deuxième, un peu plus pétillant, où le sucre avait déjà commencé sa transformation en alcool.

Un grand merci à tous nos clients pour leur bon travail et leur bonne humeur, et à Marc et sa mère, Marie-Rose, pour leur accueil et leur disponibilité !

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Premier contact avec les pieds de vigne adoptés, première rencontre avec Jean-François et Yannick, premières questions et premiers travaux dans les rangs. Pour fêter le mois de juillet, la météo y avait mis du sien et c'est sous un soleil radieux que nous avons pu écouter Jean-François nous initier aux secrets du terroir et des appellations d'origine contrôlée. Dans le parc du domaine, avec la vue sur le Clos des Cornières dans lequel poussent nos pieds, l'exposé prenait un tour bucolique, et il aurait bien pu durer toute la matinée ! C'était sans compter sur les explications et le travail qui nous attendait à la vigne.

Nous sommes tout d'abord allés à la rencontre de nos pieds de vigne et avons pris quelques minutes à nous creuser la tête en vue du concours photo « Je prends mon pied ». Afin de réaliser la photo la plus originale, certains ont su faire preuve d'une créativité étonnante, quitte à payer (un peu) de leur personne !

Nous avons ensuite retrouvé Jean-François et Yannick, afin de passer aux explications techniques et au travail proprement dit. La fleur est passée depuis quelques jours déjà, et l'on commence à apercevoir de petites grappes ici et là, sous les feuillages touffus. Après les périodes de taille et d'ébourgeonnage, les mois de l'été sont consacrés au deniers soins avant les vendanges : relevage, rognage et traitement.  La vigne est en effet  une liane et elle se met à pousser très vite une fois les mois chauds et ensoleillés revenus. Il est donc nécessaire d'une part de « relever » les fils de fer qui l'encadrent, afin que les rangs ne soient pas encombrés de branches superflues et de bien séparer les pieds afin d'obtenir des rangs propres et des pieds bien définis. Ce passage dans les rangs est également l'occasion d'arracher les branches inutiles, qui risqueraient d'épuiser le pied. Ainsi, les produits de contact utilisés pour le traitement pourront atteindre sans entrave les feuilles et les grappes. Autant de détails anodins en apparence, mais qui permettront à la vigne de respirer et de concentrer l'énergie et le sucre dans ses fruits. Le rognage se fera ensuite de façon mécanique afin de limiter la hauteur des vignes.

C'est donc sous un superbe soleil que nous nous sommes répartis dans les rangs afin de nous mettre au travail, et par là-même mériter l'apéritif qui allait suivre ! Heureusement, un vent du nord soutenu a rendu la tâche plus facile en rendant la température bien plus clémente. Ce temps idéal pour nous l'était également pour les vignes, car il permet de neutraliser les maladies comme le mildiou, en séchant ce champignon directement sur la feuille avant qu'il n'ait le temps de d'étendre.  Une nouvelle occasion pour Jean-François et Yannick de nous apprendre des choses ! Plusieurs parmi nous étaient justement inquiets quant à ces questions de météorologie, eut égard aux derniers mois durant lesquels l'ensoleillement, les températures et l'hygrométrie n'étaient pas les plus favorables pour la croissance de la vigne. Quoi qu'il en soit, au Domaine Chapelle, les vignes n'ont pas particulièrement souffert de ce climat, et les beaux jours arrivant, on ne peut pour le moment que noter un retard de quelques semaines, mais rien de négatif en ce qui concerne la qualité du raisin. Aussi, en 2013, les vendanges seront certainement tardives... mais dans l'année seulement, et pas dans la maturité du raisin.

Après ces quelques heures dans les rangs, nous sommes remontés au domaine afin de prendre l'apéritif dans le parc, et déguster tous ensemble les Santenay Saint-Jean et Meursault produits au domaine Chapelle. Nous avons bien sûr profité encore de ce moment pour poser, sans répit, d'autres questions à Jean-François et Yannick, toujours présents et généreux en explications. Après le repas pris dans la salle des vendangeurs, durant lequel nous avons poursuivi la dégustation entre Santenay Clos des Cornières, Aloxe-Corton et Santenay La Comme Premier Cru.

Nous avons suivi Yannick à la cuverie. Au milieu des cuves en bois, en béton ou en inox (chaque génération de Chapelle ayant agrandi à son tour la cuverie), nous avons pu entrapercevoir le parcours du raisin puis du vin au moment des vendanges.

Nous avons enfin conclu la journée par un parcours dans les caves, où fort heureusement, personne ne s'est perdu !

Un grand merci à Jean-François, Yannick et Yvette pour avoir partagé leurs connaissances et ces belles journées avec nous !
 

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Ci-dessus une photo de nos apprentis vignerons devant la parcelle Rosenberg, où se trouvent leurs pieds de vigne adoptés de pinot gris.

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Après le café et les introductions, nous sommes partis à la parcelle de vigne où se trouvent les pieds de vigne adoptés par nos clients de Gourmet Odyssey.  Une petite ardoise personnalisée marquait la micro-parcelle de chaque client, et nous avons pris quelques minutes pour aller à leur rencontre !

Le vignoble est conduit en agriculture bio et est aussi certifié en biodynamie qui nécessite une attention particulière au traitement de la vigne.  Éric nous a expliqué les différences entre l'agriculture conventionnel, bio, et biodynamique.

Ensuite,  Nous sommes ensuite rendus à une autre parcelle du vignoble où Éric et Marie-Pierre nous ont gardé un peu de travail à faire.  Sur le chemin, Éric nous a  montré les différents types de cépages plantés au domaine et nous a mis au point sur le travail déjà effectué en vigne pendant l'hiver.

Notre tâche du jour ; le palissage, qui consiste à relever les fils de fer et d'assurer que tous les sarments se trouvent à l'intérieur des fils.  Le palissage donne plus de support à la vigne pour épauler le poids des feuils et du fruit à venir. C'est aussi important pour laisser la place aux tracteurs de passer sans endommager la vigne.

Éric et Marie-Pierre nous ont montré comment procéder en tirant sur les fils, en les montants, et puis en les pinçant avec une agrafe.  Puis nous nous sommes éparpillés entre les rangs pour mettre la main à la pâte !

Travailler dans la vigne est bien pour ouvrir les papilles !  De retour au domaine nous avons commencé la dégustation de vins avec un vin blanc frais du domaine, qui était le bienvenu après la chaleur en vigne.  Nous avons ensuite dégusté le "Côtes du Rhône Massif d'Uchaux Garance", qui est la cuvée choisie pour l'Expérience Vin de Gourmet Odyssey, suivi par le "Châteauneuf-du-Pape" élaboré par le domaine.

Nous avons continué la dégustation dans le chai avec le déjeuner.

L'après-midi nous avons pris le sentier que Éric a mis en place à travers le bois et la vigne du domaine.  La ballade nous a fait découvrir les différents terroirs et Éric nous a montré une parcelle qu"il a replanté récemment.

Nous avons fini la journée au chai du domaine.  Ici Éric nous a introduit sur une autre facette du métier de vigneron, la vinification, et nous a également expliquer un peu plus en profondeur  la biodynamie.

Merci à Éric et à Marie-Pierre et à tous ceux qui sont venus pour cette journée riche en partage.  A bientôt pour les vendanges !

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Nous avons commencé la journée dans le Clos de la Bonnelière, la parcelle où se trouvent les pieds de vigne adoptés des clients de Gourmet Odyssey.  Nous avons pris quelques minutes pour localiser les ceps de chacun avant de commencer les choses plus sérieuses !

Marc nous a mis au point sur tout le travail déjà effectué en vigne pendant l'hiver pour protéger les ceps contre le froid et de les tailler.

La vigne a actuellement environ 3 semaines de retard par rapport à une année normale, alors nous sommes toujours en cours d'ébourgeonnage et de relevage.  Marc nous a expliqué l'importance de l'ébourgeonnage pour assurer une meilleur qualité de raisin aux vendanges en enlevant des bourgeons qui ne produira pas de raisins  ou qui va épuisera l'énergie de la plante.  Puis à nous de mettre la main à la pâte !

Marc nous a aussi montré comment faire le relevage des fils de fer pour mieux supporter les sarments et le poids des grappes à venir.  Nous avons remonté les fils en les pinçant avec des agrafes.

Et pour les plus courageux, nous avons aussi utilisé les binets pour enlever les mauvaises herbes autour des pieds que l'intercep ne pouvait pas arracher.  C'est plus physique comme travail, mais ça ouvre les papilles pour  la dégustation !

Comme apéritif, Marc nous a fait déguster son délicieux vin blanc pétillant « Perle Sauvage ».  C'est un vin naturel sans rien ajouté... que du raisin !

Pendant le repas, nous avons continué la dégustation avec des vins blancs et rouges du domaine y inclus le Chinon « Clos de la Bonnelière » qui est le vin sélectionné par Gourmet Odyssey et qui a gagné un médaille d'or au salon Millésime Bio cette année.

 

Nous sommes allés au chai de vinification après avoir mangé, où Marc nous a montré les cuves et nous a introduit au monde de vinification.

Et puis la journée s'est terminée à la cave du domaine qui se situe en-dessous de la Forteresse de Chinon.  Dans cet endroit magique, nous avons découvert les barriques d'élevage, des milliers de bouteilles de vin au repos et la machine utilisée pour tourner les vins pétillants.

 Un grand merci à Marc et à tous nos clients d'avoir partagé ce moment de bonheur avec nous.

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Après les introductions sur le Domaine, nous sommes partis direct au vignoble de la Boissonneuse, la première parcelle du Domaine à avoir été converti en bio et en biodynamie.  Chaque client a adopté des pieds de vigne, et c'est dans cette partie du vignoble qu'ils se trouvent.

Nous avons pris quelques minutes pour prendre des photos et pour que chaque client fasse connaissance avec ses ceps de vigne !

Arnauld, de l'équipe vignes, nous a accompagnés pour nous expliquer le travail minutieux effectué tout le long de l'année.

La vigne a actuellement deux à  trois semaines de retard par rapport à une année normale.  Nous en sommes donc encore au stade de l'ébourgeonnage.  Arnauld nous a ainsi montré comment faire pour réduire le nombre de sarments sur la vigne pour favoriser la qualité de la récolte à venir.  Puis c'était à nous de jouer pour ébourgeonner suivant ses conseils !

L'ébourgeonnage est presque aussi complexe que la taille, car il faut toujours avoir en tête comment de rajeunir le cep et de trouver le meilleur qui sera porteur des fruits pour l?année prochaine.  Mais la meilleure façon d'apprendre, ou au moins d'apprécier la complexité de l'opération, est de mettre la main à la pâte !

Arnauld nous a aussi montré comment relever les fils pour mieux supporter et étaler les vignes.

Une grande partie de la vigne du Domaine est conduite en biodynamie.  Cette approche du travail nécessite des vignerons d'être plus à l'écoute de la vigne, en tenant compte notamment de la globalité de son environnement local.   Arnauld nous a expliqué les différentes préparations à  base par exemple de bouse de vache, de silice et de plantes, comme l'ortie,  qui sont utilisées pour traiter la vigne contre les maladies et lui donner plus de vigueur.

De retour au Domaine, nous avons dégusté la gamme de vins biodynamiques.  Pour commencer, le Petit Chablis « Les Plantes », suivi par la cuvée sélectionnée par Gourmet Odyssey, le Chablis « Boissonneuse ».  Nous avons ensuite dégusté le Chablis Premier Cru « Vaulorent » et le Chablis Grand Cru « Les Preuses » avant de manger le repas, accompagné d'autres Chablis et Irancy du Domaine.

Nous avons commencé l'après-midi dans la cave au sous-sol où Pierre nous a dévoilé la coupe de sol exposée, qui montre la typicité du terroir kimméridgien Chablisien.

Puis direction de la cuverie.  Ici, nous avons vu les différents types de cuves utilisés pour vinifier  et élaborer les vins du Domaine.  Pierre nous a sensibilisés aux choix que le vigneron doit faire dans l'élaboration de son vin, ce qui sera décrit plus en détail lors de la Journée Vinification.

Un grand merci à tous nos clients qui ont participé aux journées.  Nous espérons que vous en avez appris un petit peu plus sur le métier passionnant de vigneron !

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Lors des Journées Découverte, on découvre le travail qui doit être fait en vigne pour avoir les meilleurs raisins possibles au moment des vendanges.  Christine Nadalié, le vigneron du domaine, a passé toute la journée à nos côtés pour nous expliquer son métier et répondre à nos questions.

Après les introductions, nous sommes partis directement en vigne.  Sur le chemin pour aller à la parcelle où se trouvent les pieds de vigne adoptés des clients de Gourmet Odyssey, Christine nous a expliqué les différents cépages plantés au domaine, et a commencé à nous faire découvrir les multiples tâches manuelles qui sont nécessaires pour produire des raisins de qualité.

Une fois arrivés à la parcelle de merlot au bout du vignoble, nous nous sommes dispersés avec des ardoises pour trouver les ceps que nous avons parrainés, et les bichonner avec quelques mots doux !

A cause du printemps froid et pluvieux, la vigne a quelques semaines de retard par rapport à une année normale.  Habituellement, nous aurions eu plein de pampres à enlever des troncs de ceps, mais là, elles étaient difficiles à trouver.  Il faut enlever les pampres parce qu'elles ne produisent pas de raisins et prennent l'énergie de la plante.  Elles peuvent aussi être, plus tard, une passerelle de maladies de la terre aux fruits si elles ne sont pas enlevées.

Dans la vigne de Château Beau Rivage, il y a toute une faune.  Des buses et mêmes des cigognes qui la survolent, et parterre, des lapins qui sautent et courent entre les rangs.  Mais les lapins au domaine sont un peu trop gourmands.  Ils ont un penchant pour les pousses des jeunes vignes, et du coup, la parcelle qui a été récemment replantée prend plus de temps à pousser que souhaité.  Mais ça nous a donné une autre tâche à faire !  Pour les protéger contrer les lapins, nous avons enlevé la mauvaise herbe autour des pieds, et puis nous les avons entourés d'une sacoche.

Après tout ce travail, la dégustation était bien méritée !  Nous avons commencé avec un clairet du domaine, suivi par la cuvée Raphaël 2007.

Nous sommes ensuite passés à table dans le hangar des machines pour déjeuner et pour continuer la dégustation de vins, incluant la cuvée « Château Beau Rivage » choisie dans les formules Gourmet Oydssey, le « Clos la Bohème » haut-médoc  de Christine et « Le Phare ».

L'après-midi, nous sommes entrés dans le chai où Christine a continué à répondre à nos questions.  Elle nous  a expliqué comment les raisins sont traités au moment des vendanges et ce qu'il se passe au moment des fermentations alcoolique et malo-lactique.

Dans le chai à barrique, nous avons découvert l'autre univers fascinant de Christine, celui de tonnelier.  Christine nous a éclairé sur l'interaction entre le chêne et le vin dans une barrique et son importance dans l'élevage des vins de Bordeaux.

Un grand merci à Christine et à Guillaume d'avoir partagé leur passion de leur métier avec nous, et bien sur à tous nos clients qui, on l'espère, sont partis en appréciant un peu plus le métier large et varié de vigneron !

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25-26 mai : Tours fête les vins de la Loire, place de la Gare, Tours (stand N°331)  

27-28 mai : Loire en Scène, Batofar, 11 quai François Mauriac, 75013 Paris.

 

 

 

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Les journées ont commencé par une introduction au domaine Chapelle, en partant des dinosaures et de l'effondrement de la Bresse pour s'arrêter au la loi sur les Appellations d'Origine Contrôlée de 1935, en passant par les moines de Cîteaux et Philippe le Hardi. Un large panorama historique qui nous a permis de comprendre et de nous y retrouver un peu mieux parmi les différentes appellations de Bourgogne.

Nous avons ensuite quitté le caveau pour rejoindre le parc qui surplombe le Clos des Cornières. La vue sur la côte a apporté un éclairage bien plus concret aux classements en Grands Crus, Premiers Crus, Village, Bourgogne... Jean-François nous a ensuite expliqué les différentes évolutions du métier de vigneron, des relations avec les négociants en vin et de son choix de fonctionner en agriculture biologique. Au départ simple recherche pour lutter contre la prolifération d'araignées dans la vigne, cette orientation biologique est devenue depuis près d'une vingtaine d'année un fonctionnement bien établi pour le domaine, malgré quelques frictions au départ : les traditions sont souvent difficile à bousculer !

La journée s'est ensuite poursuivie par une visite de la cuverie et du chai de réception du raisin. À côté des cuves en inox installées dans l'extension construite par Jean-François (la cuverie s'est en effet agrandie à chaque génération), nous avons suivi le parcours du raisin au moment des vendanges. Si le temps du samedi matin rendait peut-être le fait difficile à croire, nous avons néanmoins appris qu'il était parfois nécessaire de refroidir les raisins lors de leur mise en cuve. L'objectif : retarder le départ de la fermentation, pour éviter que les grains qui entrent en premier, sous l'effet de la chaleur, ne commencent à fermenter avant que la cuve ne soit elle-même complètement remplie ! Une rapide visite de la cave a conclu cette matinée, et nous nous sommes attaqués à la dégustation des vins pour l'apéritif, sous un soleil radieux qui n'allait plus nous quitter du week-end.

Après les repas pris dans le caveau des Jacobines en dégustant les Aloxe-Corton et les Santenay 1er Crus proposés par Jean-François, nous avons pris le chemin des vignes pour rendre une visite à nos pieds ! Après avoir retrouvé notre chemin entre les rangs, les pieds et les trous, nous avons pu apprécier l'avancement de la pousse des bourgeons et les travaux de taille qui ont déjà été effectués jusqu'à présent. La terre encore un peu grasse a empêché les plus créatifs d'entre nous de se lancer dans les poses les plus improbables en vue du concours photo « Je prends mon pieds », mais les efforts réalisés promettent des participations intéressantes.

Nous avons ensuite gagné l'autre côté de la route, pour descendre dans la parcelle de Santenay Blanc  du domaine Chapelle. Jean-François nous a ainsi expliqué l'importance de la taille et de l'ébourgeonnage pour que le raisin respire, pour que la sève et l'énergie de la vigne se diffuse davantage dans le raisin plutôt que dans la végétation. Le passage à la pratique suivant immédiatement les explications de Jean-François. Chacun dans son rang, certains trouvaient la terre sans doute un peu trop basse, mais nous avons tous pris du plaisir à examiner pieds après pieds l'avancée des bourgeons, et à poser à Jean-François les questions qui nous interpellaient face à nos cas pratiques. Parfois au début un peu craintif quant à l'arrachage des bourgeons, nous avons cependant avancés dans nos rangs de plus en plus vite, l'assurance venant avec l'expérience.

Nous sommes enfin remontés dans la cour du domaine Chapelle pour conclure la journée. Après quelques informations sur les journées Vendanges et Vinification à venir, nous avons récupéré nos commandes auprès de Jean-François, et repris la route... pour revenir d'ici quelques mois !

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Réunis autour d'une boisson chaude et de quelques croissants pour prendre des forces avant le début de la journée, nous avons laissé Jean-François nous éclaircir les notions d'appellation, liées bien sûr à l'importance que l'on prête aux questions terroir en Bourgogne, dont les racines remontent aux moines de Cîteaux ! Après une présentation du domaine, des évolutions du travail des vignerons et des relations avec les négociants, nous avons profité du beau temps pour appréhender de façon très concrète ces réalités géologiques, qui forment le caractère de notre vin.

C'est donc dans le jardin du domaine, avec une vue magnifique sur la côte, que Jean-François nous a présenté les parcelles du domaine qui sont classées en Premier Cru, en appellation Village ou Bourgogne. Ces dénominations parfois un peu abstraites ont trouvé là une belle illustration, qui nous aura permis de les clarifier définitivement ! Après quelques explications supplémentaires sur les cépages cultivés en Bourgogne (Chardonnay et Pinot Noir principalement), nous nous sommes ensuite dirigés vers la cuverie et la cave, conduits par Jean-François et Yannick, le directeur technique du domaine.

Face aux cuves et aux pièces du millésime 2012 (peu nombreuses, mais d'excellente qualité!), nous avons suivi le chemin emprunté par le raisin, puis par le vin, au moment des vendanges, de l'élevage et de l'assemblage. Un petit avant-goût pour ceux d'entre nous qui participeront aux Journées Vendanges et Vinification !

Après la présentation du chai de réception et de tri des raisins, nous nous sommes intéressés aux fûts et avons eu un premier aperçu des techniques d'élevage sous bois. D'où viennent les tonneaux ? En quels bois sont-ils faits ? Quel est l'impact sur le vin ? Quels travaux sont effectués avant la mise en bouteille ? Autant de questions auxquelles Jean-François et Yannick ont bien volontiers répondu.

Nous avons ensuite pris l'apéritif dans la cours du domaine, salués par un soleil davantage présent (mais toujours trop peu chaleureux à notre goût!). Autour de nos verres de Saint-Jean et de Meursault, ce samedi d'avril avait  "presque" un goût d'été ! Nous sommes ensuite retournés dans le caveau des Jacobines pour le repas, durant lequel nous avons pu poursuivre la dégustation des vins produits au domaine. Santenay, Clos des Cornières, Aloxe-Corton... De quoi accompagner dignement les spécialités bourguignonnes que nous avons goûtées !

Le temps est ensuite venu d'aller rendre visite à nos pieds de vignes, qui attendaient sagement dans leur parcelle. Taillé et fraîchement labouré, le Clos des Cornières a vu certain d'entre nous s'adonner à d'étranges contorsions et à de surprenantes grimaces autour des ceps de vignes. La perspective de gagner un magnum à l'issue du concours "Je prends mon pied !" les a particulièrement motivés ! Avec une vue magnifique sur le château du domaine, nous avons donc profité de ces quelques instants "en tête à tête" avec nos pieds.

Nous sommes ensuite passés avec Yannick dans une parcelle voisine, dans laquelle la vigne est travaillée afin de produire du vin blanc. Surprise ! On ne taille donc pas la vigne de la même façon ? Eh bien non ! Chaque cépage a ses spécificités, et comme la philosophie du Domaine Chapelle est de faire le plus de travail en vigne possible pour laisser ensuite le vin grandir et évoluer seul une fois la mise en fût effectuée, on ne s'occupe pas de la même façon des parcelles de blanc et des parcelles de rouge !

En parlant de travail de taille, justement, Yannick nous a initié au nettoyage et au pliage des baguettes dans cette parcelle. En effet, on anticipe dès à présent le nombre de raisins que devra porter chaque vigne, et la façon dont celle-ci devra pousser pour que chaque raisin puisse arriver à maturité de façon homogène. Quelques courageux se sont lancés dans les rangs pour mettre la main à la pâte !

Nous avons poursuivi cette sympathique leçon en passant à un autre sujet qui nous intriguait : l'orientation "agriculture biologique" prise au Domaine Chapelle. Quels produits sont utilisés ? Dans quelles proportions ? Quelles sont les différences avec l'agriculture conventionnelle ? Une fois encore, Yannick s'est empressé de répondre à nos questions, en nous expliquant également comment cette démarche biologique s'est mise en place au domaine et face à quelles difficultés ils ont été confrontés.

Enfin, de retour au domaine, le moment est venu de récupérer les commandes, puis de se séparer... Jusqu'aux prochaines journées !

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Cette compétition est la 3ème plus grande en France et c'est la seule à être exclusivement réservé aux vignerons indépendants, cette année c'est 5500 échantillons qui ont été dégusté par un jury composé d'amateurs et de professionnels. Le principal critère de sélection  lors de la dégustation était de s'avoir si c'est un vin que « l'on peut offrir et déguster à table »

Pour cette occasion, deux vins du Château Beau Rivage qui participaient au coucours ont retenu l'attention des juges. Voici les résultats :

Le Château Beau Rivage 2010, Appellation Bordeaux Supérieur Contrôlée décroche la Médaille d'Argent ! Ce vin était issu de la même cuvée que celle remise à nos apprentis vignerons qui ont participé au millésime 2010.

Le Château Beau Rivage Benjamin 2010, reçoit quand à lui une Médaille de Bronze !

Un grand bravo à notre domaine qui une fois de plus à été récompensé pour son authenticité et pour sa passion qu'il transmet à travers son art.

 

 

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Le stage oenologique à débuté au domaine autour d'une boisson chaude et de quelques viennoiseries afin de faire connaissance et surtout pour prendre des forces pour le reste de la matinée qui s'annonçait bien chargée. Une fois les présentations terminées, Marc Plouzeau nous a présenté son domaine, son histoire, les terroirs de la région et surtout sa vision du vin bio. Maintenant que nous avions les explications, il fallait bien passer à la pratique !

L'atelier des arômes fut la première activité de cette Journée Vinification, en effet car avant de déguster de bons vins, il faut savoir comment les apprécier et les juger. Sous la forme d'un jeu, nous devions retrouver l'arôme qui se dégageait de chaque échantillon. Certains paraissaient évidents tandis que d'autres étaient plus subtiles. Mark qui présidait cette assemblée nous a fait comprendre la différance entre les arômes naturels présents grâce au fruit et ceux obtenus grâce au choix d'élevage et notamment l'élevage en barrique.

L'atelier terminé, nous avons suivi Marc Plouzeau au chai pour découvrir les cuves et les barriques où se repose tranquillement notre vin.  Il nous a expliqué tous les choix capitaux qu'il avait à faire pour atteindre ses exigences et surtout que faire du vin est un travail minutieux et qu'une petite erreur peu modifier toute une cuvée. Puis nous avons reçu un cours sur la fermentation, c'est-à-dire le moment où le sucre est transformé en alcool et sur la fermentation malo-lactique qui consiste à adoucir le vin en enlevant un peu d'acidité. Notre vigneron nous a également appris la différence entre un élevage en cuve et un élevage en barrique.

Le cours terminé, nous sommes parti prendre un bol d'air dans la vigne pour y faire un petit coucou à nos pieds de vigne adoptés et prendre le temps de faire quelques photos amusantes pour le concours.

La matinée finit, il était temps d'aller à la cave du domaine pour commencer les dégustations et passer à table. Sa cave qui se situe en dessous de la Forteresse de Chinon est un lieu vraiment atypique et qui fut taillé dans la roche à la main. Malgré sa fraicheur (12°), la dégustation à commencée par le «  Perle sauvage 2011 », un vin pétillant sans souffre  avec de fines bulles idéal pour débuter l'apéritif.  La mise en bouche terminée, nous avons pris place autour de la grande tablé pour le déjeuner.  Au cours du repas nous avons dégusté plusieurs vins rouges : y inclut le « Clos de la Bonnelière 2011 », la cuvée sélectionnée par Gourmet Odyssey.  Le ventre bien remplit nous avons fait un tour de la cave et puis nous avons commencé le prochain atelier, l'assemblage.

Nous nous sommes repartis en groupes avec devant nous 5 vins du millésime 2012 toujours en élevage à déguster.  Les vins ont été sélectionnés pour montrer la particularité entre les différents terroirs de Chinon et le choix d'élevage en cuve ou en barrique.  Il y avait également un vin de presse qui peut apporter de la structure.  Après une première dégustation de chaque vin,  nous avons fait nos propres assemblages.  Le but était de marier ces vins entre eux afin d'obtenir le meilleur résultat possible. Bien sûr ce n'est pas aussi facile que l'on pense, chacun à ses préférences et il fallait s'entendre sur les quantités et le type de vin que l'on cherchait à concevoir.

Un grand merci à Marc Plouzeau notre vigneron pour nous avoir fait découvrir un métier riche, complexe et intéressant et  également merci à tous nos apprentis vignerons qui ont joué le jeu et qui on l'espère on passé un agréable moment à nos cotés.

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