Quels sont les principales conclusions du rapport ?
La première et sans doute la plus importante des conclusions c’est que les êtres humains sont responsables du déclin des espèces, près de 25% des animaux et plantes existants sont menacés. Et la vitesse de destruction est alarmante, elle est 10 à 100 fois plus rapide que sur les 10 millions d’années qui viennent de s’écouler.
Parmi les principales causes de l’extinction des espèces « les changements d’usage des mers et des terres » (exemple : la déforestation massive), « l’exploitation directe de certains organismes » (exemple : la surpêche), « le changement climatique », « la pollution » et les « espèces exotiques envahissantes » (introduites par l’homme dans des habitats non appropriés et qui menacent la diversité biologique, par exemple l’Ambroisie).

La première et sans doute la plus importante des conclusions c’est que les êtres humains sont responsables du déclin des espèces, près de 25% des animaux et plantes existants sont menacés. Et la vitesse de destruction est alarmante, elle est 10 à 100 fois plus rapide que sur les 10 millions d’années qui viennent de s’écouler.
Parmi les principales causes de l’extinction des espèces « les changements d’usage des mers et des terres » (exemple : la déforestation massive), « l’exploitation directe de certains organismes » (exemple : la surpêche), « le changement climatique », « la pollution » et les « espèces exotiques envahissantes » (introduites par l’homme dans des habitats non appropriés et qui menacent la diversité biologique, par exemple l’Ambroisie).

Comment serons-nous affectés à court terme ?
Le rapport prévient que "la plupart des contributions de la nature ne sont pas entièrement remplaçables". Par exemple plus des ¾ des cultures dans le monde reposent sur la pollinisation par les animaux : des denrées comme les fruits, les légumes, le café, le chocolat pourraient venir à manquer rapidement en cas d’extinction de ces animaux. De même les formules de nombreux médicaments reposent sur des espèces végétales qui disparaissent.
Autre exemple concret, les conflits liés aux ressources naturelles déjà très importants, 2500 en cours actuellement, vont se multiplier sous l’effet de la démographie mondiale qui ne cesse d’augmenter, faisant pression sur les ressources naturelles.

Que peut-on faire dès maintenant ?
La bonne nouvelle c’est que l’on peut encore inverser la tendance : il faut pour cela des transformations et des actions à la fois locales et globales. Nous pouvons utiliser des techniques agricoles plus durables, et instaurer des quotas pour l’exploitation des ressources à l’échelle mondiale en mettant fin par exemple aux subventions accordées aux agricultures intensives, à la pêche massive, à l’exploitation forestière ou l’extraction de combustibles fossiles.
Cela passe par nous tous au niveau local par les choix de consommation que nous faisons pour nous déplacer, nous chauffer, nous nourrir : par exemple une réduction de la demande en produits animaux (poisson, viande) et le choix de producteurs respectueux de la biodiversité et de leur environnement.
Chez Gourmet Odyssey en quoi sommes-nous concernés ?
Faire des cadeaux à nos proches est un plaisir dont on en saurait se priver, pour autant nous pouvons le faire en choisissant de limiter notre impact environnemental et en mettant en valeur les producteurs se battent pour le respect du vivant.
Gourmet Odyssey ne travaille qu’avec des producteurs bio, c’est un choix que nous avons fait depuis la création de la société il y a 10 ans, convaincus qu’à notre petite échelle nous pouvons aussi soutenir une agriculture à taille humaine qui préserve l’environnement et la biodiversité. Le Château Coutet en est un bel exemple, avec un domaine viticole familial qui préserve la biodiversité dans ses vignobles depuis plus de 400 ans.
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