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En effet, la vigne était en repos végétatif entre le mois de décembre et le mois de mars. Pendant cette période la sève est descendue dans les racines de la plante, et les vignerons en ont profité pour faire la taille de la vigne. La taille a pour but de limiter la croissance de la vigne pour ainsi réguler la production de raisin et améliorer sa qualité.

Suite à ce travail de la taille, qui est effectué vers mi-mars, on peut constater que la vigne « pleure » ! Mais pas de panique cela correspond à son réveil.

Les pleurs de la vigne se réfèrent à la remontée de la sève dans les racines et son écoulement depuis l'extrémité des sarments qui ont été coupés lors de la taille quelques mois plutôt. On assiste donc à la reprise d'activité de la vigne.

Les beaux jours sont présents et la belle luminosité du soleil couplée à une température douce permet donc un gonflement des bourgeons de la vigne. Ces bourgeons lors du repos végétatif pendant l'hiver sont recouverts d'une pellicule d'écaille qui permette de les protéger des basses températures. Ces pellicules éclatent lorsque le climat est plus clément et les températures dépassent les 10°C, pour ainsi laisser place aux bourgeons.

On appelle cette phase, « le débourrement » ou « le débourrage », et elle a généralement lieu entre fin mars et début avril.

On constate que chaque bourgeon laisse apparaître une pointe verte et des nouveaux sarments. Cependant il faut quand même faire attention aux gelées printanières car les bourgeons sont encore fragiles. C'est pour cela que dans certaines régions la taille est faite plus tard pour éviter le gel des bourgeons.

Voici l'explication d'un des premiers cycles de la reprise d'activité de la vigne. Si vous souhaitez mieux comprendre ce phénomène, vous pouvez participer à l'une de nos Journées Découverte dans un de nos domaines partenaires agréés bio pour mieux comprendre le travail de vigneron en vigne.

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Bilan des travaux dans la vigne pour le millésime 2015

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Vous voilà à un dîner entre amis, chez vos beaux-parents, au restaurant avec vos collègues ou encore mieux avec l'élu de votre coeur dans une ambiance douce et chaleureuse. Vous avez commandé une bonne bouteille de vin rouge de la carte. Peut-être même un vin bio du Château Beau Rivage, du Domaine la Cabotte, du Château de la Bonnelière ou du Domaine Allgeria que vous connaissez et affectionnez particulièrement. Le serveur arrive et pose «LA» question embarrassante: « qui goûte le vin » ? Vos proches vous désignent : un sentiment d'angoisse vous envahit, et vous vous demandez de quelle manière vous allez pouvoir déguster correctement le vin?

Pas de panique ! Voici quelques techniques de base pour réussir cet exercice qui s'avère être finalement un réel moment de plaisir où vos sens seront à la fois stimulés et émerveillés par la « robe » du vin, son bouquet fruité « au nez » et sa longueur intense en « bouche ». Vous l'aurez donc compris, trois sens sont donc principalement stimulés lors d'une dégustation, et l'essentiel est de trouver les mots pour traduire ce que vous ressentez.

Commençons par la vue, c'est l'un des premiers sens stimulé lorsque le vin est servi dans votre verre. Vous devez alors commencer à analyser la « robe » du vin, ce qui correspond à la fois à sa couleur, l'intensité de celle-ci et sa limpidité. Est-ce un rouge Rubis ? Grenat ? Est-ce que cette couleur est intense ? Brillante ? En effet la couleur du vin vous permettra de déterminer le stade d'évolution du vin. Un vin rouge dit « jeune » aura une robe plutôt violacée contrairement à un vin plus vieux dont la robe tire généralement sur le rouge-oranger. Lorsque vous exercez cette analyse, il est conseillé de l'effectuer sur un fond blanc tel qu'une nappe ou un morceau de papier ; un fond coloré peut masquer la véritable couleur du vin.

Il est important d'observer également la limpidité d'un vin, c'est à dire l'absence d'impuretés, qui peut aider à évaluer sa qualité, ainsi que sa capillarité ou viscosité. Celle-ci vous permettra d'estimer le degré d'alcool du vin. En effet lorsque vous inclinez votre verre et regardez le liquide retomber en forme de « larmes » ou « jambes » le long des parois, plus le vin est concentré en alcool plus le liquide coule lentement.

Passons ensuite au côté olfactif. Cette analyse se fait en deux étapes. La première étape correspond au « 1er nez » : ici pas besoin de remuer votre verre. Une simple inhalation au-dessus du verre vous permettra dans un premier temps de déceler certaines odeurs qui vont permettront de juger si le vin a un défaut ou non, et d'avoir une première idée des arômes présents.

La deuxième étape correspond au « 2ème nez » : lors de cette analyse c'est le moment de faire valser (doucement !) votre vin dans son verre, cela lui permettra de s'oxygéner un peu et ainsi d'obtenir un bouquet plus complet de différents arômes : fruits, fleurs, épices et bien d'autres encore selon le type de vin que vous êtes en train de déguster. Ici la difficulté n'est pas tant de percevoir ces arômes mais de les identifier : cet exercice fait appel à votre mémoire, et bien souvent c'est frustrant car vous avez déjà senti cet arôme quelque part mais vous ne parvenez pas à mettre un nom dessus. Pour cela il n'y a que l'entraînement qui peut vous aider !

Votre bouche commence à saliver, vos papilles sont en alerte, c'est le moment le plus attendu de votre dégustation qui vous permet d'analyser le vin « en bouche ». Pas besoin de prendre une grosse gorgée, une petite quantité est suffisante pour qu'un festival de saveurs ait lieu. Cette phase permet d'analyser « l'attaque » qui fait référence à la première sensation ressentie lorsque le vin arrive en bouche. Ensuite le milieu de bouche permet de percevoir les sensations de salé, sucré, l'acidité et l'amertume d'un vin, ainsi que de ressentir si le vin est tannique ou non.

Et pour finir on parle de finale, qui permet entre autres de percevoir la longueur d'un vin, c'est à dire l'existence ou non d'une persistance des arômes du vin juste après l'avoir avalé ou recraché. En effet, il est conseillé de recracher le vin après la dégustation, surtout si vous ne comptez pas en rester là. Certains dégustateurs avertis affirment même qu'on ressent mieux toutes les nuances en bouche en recrachant.

Voilà donc pour les toutes premières bases de la dégustation. Bien sûr cela fait beaucoup d'informations à intégrer pour un simple dîner direz-vous, mais n'oubliez pas que ce qui doit vous guider avant tout c'est le plaisir procuré par la stimulation des sens, le reste n'est histoire que de pratique !

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Le weekend dernier, nous sommes allés dans le Val de Loire pour les Journées Vinification au Château de la Bonnelière. Après les journées passées dans la vigne pendant l'hiver et le printemps derniers, puis les vendanges en octobre, ce troisième stage oenologique reprends le relai après la récolte pour faire découvrir le travail de vigneron jusqu'à la mise en bouteille. Et oui, tout n'est pas fini lors des vendanges !

Pendant la matinée, nous avons participé à trois ateliers. Au chai, Marc Plouzeau, le vigneron et propriétaire du domaine, nous a expliqué le travail fait pendant la période de fermentation et celui au début de l'élevage. Tous les vins du domaine sont vinifiés séparément et Marc nous a éclairé sur les différents choix d'élevage du vin en cuve ou en barrique.

La Journée Vinification est le stage où l'on déguste le plus de vins. Souvent, une des choses les plus difficiles pendant une dégustation est de trouver les mots pour expliquer ce que nos sens perçoivent. Pour nous aider, nous avons mis notre nez en pratique pour essayer d'identifier quelques uns des arômes qui se trouvent dans le vin, soit dû au cépage et au terroir, soit dû à un élevage en fût.

Pour tester nos nouvelles aptitudes aromatiques, nous sommes allés à la cave du domaine où les vins sont élevés en barriques. La cave se trouve en-dessous de la forteresse de Chinon et c'est dans ce lieu magique qu'on a fait une dégustation commentée par Marc de quatre vins. Chaque vin était du même cépage, du même millésime 2014 et toujours en cours d'élevage. Un des vins est élevé en cuve, un autre en barrique d'occasion, un autre en barrique neuf et le dernier est un vin de presse. Ce sont quatre vins complètement différents sur le plan aromatique et gustatif !

De retour au château nous avons continué la dégustation avec un vin pétillant, un vin blanc et trois vins rouges de Chinon pendant le repas.

Après le repas nous avons pris un peu d'air frais dans la vigne du Clos de la Bonnelière, la parcelle où se trouvent les pieds de vigne adoptés par les clients de Gourmet Odyssey. Le temps de prendre quelques photos avant de retourner au chai.

Au chai, Marc nous a montré la chaîne de mise en bouteille et d'étiquetage. Un des points important pendant cette étape est le choix du bouchon. Marc nous a montré les bouchons de qualités différentes et nous a parlé des avantages, des inconvénients et des alternatives comme la capsule à vis et les bouchons en plastique.

Cette journée fut riche en information et en dégustation. Un grand merci à Marc d'avoir partagé la journée avec nous, et à tous nos participants pour leur bonne humeur !

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Pourquoi une conversion de votre domaine en bio?

Pour le Domaine Jean-Marc Brocard, converti depuis 1999 en bio et en biodynamie pour certaines parcelles, c'est une philosophie de travail avant tout : « extraire humblement les qualités d'un terroir exceptionnel en respectant un travail sain et notre environnement ».

Jean-François Chapelle, propriétaire du Domaine Chapelle converti au bio depuis 2009, précise : « pour que la vigne exprime par la grappe les secrets du sol, toute l'activité professionnelle du vigneron doit respecter la vie ; la vie du sol et de la vigne, en excluant désherbants et engrais chimiques, et la vie des humains, pour que cesse le développement des maladies professionnelles dans l'agriculture (cancers, asthmes, et maladies de la peau) ». Pour son domaine la conversion s'est imposée naturellement pour continuer « la grande histoire de la famille Chapelle et des vins de terroir".

Au Domaine Stentz-Buecher également : l'arrivée de Stéphane, fils des propriétaires, sur le domaine en 1995 a apporté une vision différente de vision du travail avec la nature, et engagé officiellement le domaine sur le chemin de l'agriculture bio en 2007, pour une certification en 2010.

Mais attention ironise Ghislain d'Aboville, propriétaire du Domaine Allegria qui a commencé sa conversion en bio en 2008, beaucoup de viticulteurs ne sont pas « nés dedans et nos parents n'ont pas élevé de chèvres dans le Larzac après 1968 » ! Dans son cas par exemple, il y a une raison philosophique bien sûr, « c'est le livre de Marie-Monique Robin, ainsi que son film Le Monde Selon Monsanto qui ont été les déclencheurs ». Mais aussi des raisons familiales : « on est heureux que nos enfants puissent se gaver de raisins pendant la vendange sans avoir peur à cause des produits chimiques que nous n'utilisons plus ».

Qu'est-ce qui a changé pour vous depuis votre conversion en bio?

Pour certains comme Eric Plumet, propriétaire avec son épouse Marie-Pierre du Domaine la Cabotte converti en bio en 2002 et en biodynamie en 2006, c'est « la sensation de ne plus travailler contre la nature mais avec la nature. De respecter le vivant et de tout mettre en oeuvre pour développer ce vivant sur nos sols, nos vignes et nos vins. D'avoir développé notre sens de l'observation et de travailler selon un bon sens paysan. ».

Et au-delà d'un sentiment, pour le Domaine Brocard l'effet est visible dans le vignoble : « la vigne a repris de la vigueur, elle sait mieux se défendre contre les maladies, et ses rendements sont plus constants. ».

Au Domaine Allegria on va même au-delà du cercle du vignoble, avec « la création d'un potager bio en 2014 et en 2015 notre poulailler et nos poules bios ». Et pour les clients, un engagement qui ne concerne pas seulement l'agriculture biologique, mais aussi une responsabilité sociétale.

De même pour le Domaine Stentz-Buecher : « Au-delà du respect du cahier des charges AB, nous appliquons également une démarche qualitative : réduction des rendements, tri sévère des raisins, vinification naturelle, etc. ».

Quels sont les moments forts à venir pour vous cette année ?

Nos partenaires fourmillent de jolis projets pour 2015 :

• l'acquisition d'une parcelle de Santenay 1er Cru Beaurepaire pour le Domaine Chapelle
• la formation des équipes du domaine et l'évolution des bâtiments pour accueillir et partager une vision de la viticulture avec un plus grand nombre de visiteurs au Domaine Jean-Marc Brocard
• le démarrage d'un processus de certification RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises), et un tout nouveau Rosé encore plus gourmand et séduisant pour le Domaine Allegria
• l'arrivée d'Etienne, fils de Marie-Pierre et Eric au Domaine La Cabotte pour les seconder, et une nouvelle très vielle parcelle de Grenache de Châteauneuf du Pape travaillée en culture bio et en conversion à la biodynamie.

Quels sont vos souhaits pour votre domaine et votre équipe en 2015 ?

Les voeux de nos partenaires sont assez unanimes concernant 2015 : aller plus loin dans le « bio pour le respect de son environnement » au Domaine Chapelle, et faire « connaitre le vin bio au plus grand nombre en France comme à l'international » au Domaine Jean-Marc Brocard.

Et surtout, souligne le Domaine la Cabotte, souhaitons « une nature généreuse pour donner des vins encore meilleurs car il ne faut jamais oublier que nous sommes avant tout tributaires des conditions climatiques ».

Mais avant tout, nos partenaires placent 2015 sous le signe des rencontres et du plaisir partagé avec leurs clients : « un excellent millésime » pour les clients du Domaine Jean-Marc Brocard et pour le Domaine Allegria « entreprendre tout avec beaucoup d'Allegria et partager cette joie avec nos clients » !

Plus d'informations sur tous nos partenaires vignerons

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Tout au long de l'année, différents Saints sont invoqués et fêtés à des moments critiques du cycle de la vigne : Saint Morand de Cluny, par exemple, célébré le 3 juin, notamment en Bourgogne, en Champagne ou en Alsace, protègerait des gelées tardives et favoriserait une bonne floraison. Cela viendrait d'une légende selon laquelle un jour que son prieuré manquait de vin pour ses convive, il fit un signe de croix sur un tonneau qui immédiatement se remplit de vin. La Saint Vincent, elle, a longtemps marqué la fin du repos hivernal de la vigne, même si de nos jours les caprices de la météo remettent quelques fois la tradition en cause.

Cette grande diversité de Saints patrons trouverait son origine dans la tradition religieuse et les livres racontant la vie des martyrs, où le vin est souvent assimilé au sang versé. Mais dans les versions plus terre à terre, les Saints ont quelques fois simplement la réputation d'être à l'origine de la viticulture dans certaines régions : c'est Saint Martin au 4e siècle, par exemple, qui aurait introduit la culture de la vigne dans le Val de Loire, et son âne aurait même découvert le principe de la taille. A l'abbaye de Marmoutier près de Tours, la brave bête broute quelques sarments de vigne. Aux vendanges suivantes les moines constatent que, quoique moins nombreuses, les grappes sont beaucoup plus grosses, et les raisins de bien meilleure qualité sur les pieds grignotés par l'animal.

Une autre figure est bien connue des vignerons : celle de Saint Vernier, transposition francophone du Saint allemand Werner. Il a été assassiné en 1287 et son corps a été retrouvé le Vendredi Saint ; Werner a alors été considéré comme un martyr, et son culte est apparu au XVIe siècle en Lorraine et en Franche-Comté, appartenant alors au Saint Empire germanique. En Auvergne, il est connu sous le nom de Saint Verny. On l'a honoré jusqu'au XIXe siècle. Mais il ne fit rien pour protéger le vignoble contre le phylloxera, et les vignerons en colère jetèrent ses statues dans l'Allier ou dans les fontaines des villages. Pas toujours très facile d'être un Saint !

Au XXe siècle, le culte de Saint Vincent est devenu le plus répandu. Saint Vincent, diacre et évêque de Saragosse, est mort sous la torture en l'an 304. L'histoire raconte que lors du siège de Saragosse en 542, Childebert, roi de Paris, et Clotaire, roi de Soissons, ont été touchés par la piété des habitants entrés en procession derrière les reliques de Saint Vincent : ils auraient donc négocié les reliques contre la levée du siège. Celles-ci ont alors été déposées à Paris, à l'abbaye Sainte-Croix-Saint-Vincent, devenue Saint-Germain-des-Prés, où les moines cultivaient la vigne. Et un Saint Patron était né ! Depuis 1938 il est mis à l'honneur une fois par an à l'initiative de la confrérie des chevaliers du tastevin en Bourgogne.

Une multitude d'autres traditions perdurent encore de nos jours comme par exemple le 15 août, jour de l' Assomption, d'offrir les prémices de la vigne, à savoir les premières grappes, à la Vierge Marie. Vigne, vin et Saints sont donc intimement liés mais ce n'est pas le seul exemple de patronage lié à la gastronomie : pour n'en citer que quelques uns Saint André patron des pêcheurs et poissonniers , Saint Antoine du Désert, patron des charcutiers et porchers, Saint Honoré, patron des boulangers, pâtissiers et confiseurs, etc.

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Tous nos partenaires vignerons sont présents sur salon Millésime Bio 2015 : c'est le rendez-vous annuel à ne pas manquer pour retrouver ses clients, présenter de nouveaux millésimes, et bien sûr, rechercher de nouveaux prospects. C'est aussi l'occasion de déguster les vins de collègues vignerons et d'échanger sur de nouvelles techniques concernant la viticulture bio.

Challenge Millésime Bio est le concours international du salon Millésime Bio, présidé par une personnalité reconnue du monde professionnel du vin. Cette année c'est Toshio Matsuura, journaliste du magazine spécialisé Wands (revue japonaise des vins et spiritueux) qui a dirigé les dégustations.

Elles ont eu lieu le mardi 25 novembre 2014 au Mas de Saporta à Lattes (près de Montpellier). Le jury a dégusté environ 1250 échantillons et le palmarès vient d'être rendu public.

• Le Domaine Chapelle en Bourgogne reçoit une médaille d'Or pour son Clos des Cornières 2012, sélectionné pour les parents adoptifs de Gourmet Odyssey. Le domaine est également récompensé d'une médaille de Bronze pour son Chassagne Montrachet 1er Cru Morgeot 2012.
• Le Domaine la Cabotte dans les Côtes du Rhône voit son vin Garance 2013, cuvée également sélectionnée par Gourmet Odyssey, récompensé d'une médaille de Bronze.

Et enfin une mention spéciale toujours au Domaine La Cabotte pour la sélection de son vin Garance 2012 par la Revue du Vin de France parmi les "révélations" du salon Millésime Bio à Montpellier, une cuvée "à acheter les yeux fermés" !

Retrouverez le palmarès complet de Challenge Millésime Bio 2015

Consulter les autres récompenses reçues par nos partenaires

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Stage Oenologique en Bourgogne au Domaine Chapelle

Première Journée Vendanges au Domaine la Cabotte

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Si votre moitié s'intéresse au vin, notre expérience vin le plongera au coeur d'un domaine viticole et lui permettra de comprendre tout le travail effectué par le vigneron pour passer de la vigne à la bouteille, tout en suivant l'élaboration de sa cuvée personnalisée. Grâce à des newsletters et des photos il/elle deviendra vigneron(ne) en herbe le temps d'un millésime et suivra les étapes de production de son vin à distance.

Et si votre cher/chère et tendre aime être au coeur de l'action et mettre la main à la pâte ajoutez dans son coffret expérience vin une journée Découverte, Vendanges ou Vinification : vous pourrez ainsi rendre visite à vos pieds de vigne au domaine pour apprendre les étapes clefs de l'élaboration du vin tout en y participant ! Au programme taille, ébourgeonnage ou relevage dans la vigne, vendanges, ou encore découverte des arômes et assemblage des vins en cave selon la journée choisie.

Pour chaque journée le vigneron est présent en permanence pour expliquer son travail, partager sa passion, faire goûter ses vins et partager un déjeuner avec les participants. Chaque journée est valable pour deux personnes, l'occasion d'emmener votre moitié lors d'un week-end en amoureux.

Tous nos domaines partenaires sont certifiés en agriculture biologique, et sélectionnés pour l'enthousiasme des vignerons à partager leur passion pour le vin : la certitude d'une expérience inoubliable à deux, qui vous permettra en plus d'ouvrir de bonnes bouteilles - millésimées de l'année en cours - et de pouvoir expliquer comment elles ont été élaborées.

Une idée de cadeau de Saint-Valentin originale et durable pour les gourmets curieux de comprendre tout ce qui se cache derrière une simple bouteille de vin. Une expérience oenologique que vous n'êtes pas prêts d'oublier !

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Les bases

L'idéal quand on sert plusieurs vins pour un seul repas est d'essayer de monter dans la qualité des bouteilles servies au fil du repas sinon le risque est de regretter le premier vin dégusté. Souvent on débute par le vin le plus acide, puis on monte en puissance, pour terminer par des vins plus ronds, mais ce n'est immuable.

Quelques fois les accords les plus évidents sont les meilleurs : assortir la cuisine régionale avec des vins locaux est très souvent un pari réussi. De même la couleur du vin et celle du plat vont très souvent de paire : des vins rouges accompagnerons bien des viandes rouges en sauces et des vins blancs des poissons pour citer l'exemple le plus évident. Bien sûr il n'est jamais interdit de déroger à ces usages pour surprendre vos convives.

Attention toutefois à quelques accords qui sont vraiment déconseillés. Avec la vinaigrette de la salade par exemple aucun vin ne se marie, tout comme les vins rouges font ressortir le côté amer des fruits exotiques.

Des exemples d'accord pour Noël

L'apéritif et le dessert

Très souvent on débute par un vin doux en apéritif, ou sur l'entrée. Il faut faire très attention car cela a plutôt tendance à saturer vos papilles, qui seront moins réceptives aux aliments de la suite du repas.

A l'inverse on aime quelque fois servir le Champagne en dessert. Bien sûr c'est possible mais cela serait encore plus plaisant en apéritif ou début de repas grâce aux bulles qui apportent une fraîcheur et une sensation acide qui aident à aiguiser les papilles et profiter de la suite du repas.

Les huîtres

On a souvent pour habitude d'associer les huîtres avec des vins blancs secs. Il est possible aussi d'y associer des vins blancs acidulés avec belle fraicheur et pourquoi pas des notes salées, voire iodées. C'est le cas par exemple dans des Riesling alsaciens ou allemands, le Chablis, un bon Muscadet sur lie bien sûr et même certains Crozes Hermitage blanc.

Le gibier

Les viandes de chasse sont souvent riches en saveur et leur chair assez ferme, et s'accompagnent de sauces relevées voire épicées. Des vins rouges plus structurés et évolués seront les plus à même de bien se marier avec ce plat. Par exemple un Saint-Joseph, un Pic-Saint-Loup ou un Médoc pour un gibier à plume, ou un Saint-Emilion, un Fitou, ou un Minervois pour un plus gros gibier

La dinde

Pour éviter d'accentuer une sensation asséchante de cette viande à chair assez ferme, il vaut mieux prévoir des vins élégants, en rouge ou en blanc, mais qui apporteront une fraîcheur et resteront raisonnablement tanniques. Des vins rouges du Beaujolais ou de Loire par exemple, ou des vins blancs de Bourgogne ou Côtes du Jura. Pour des vins plus fruités un Mercurey ou un Mâcon seront très bien.

Desserts au chocolat

C'est le moment de sortir les vins plus doux, et par chance en France on en a quelques uns qui conviennent très bien : pour ne citer qu'eux, le Maury, le Banyuls, le Rasteau, le Madiran.

Quelques accords moins classiques

Vin blancs et fromage

Nous sommes de plus en plus nombreux à préférer un vin blanc pour servir avec le fromage. Pour Noël certains fromages se prêtent particulièrement bien à cette association un peu différente : par exemple un vacherin Mont d'Or avec un Côtes-du-Jura, ou un Comté avec un vin de paille. Les fromages à pâte persillée, comme le roquefort ou le bleu se plaisent bien accompagnés de vins liquoreux comme un Sauternes, ou même d'un Porto.

Poisson et vin rouge

Le poisson est souvent un plat à chair tendre et délicate, afin de la respecter il faut s'orienter sur des vins eux-mêmes très délicats. Un Pinot Noir de Beaune ou de Volnay par exemple souligneront la délicatesse du plat.

Un exemple d'accord mets-vins original de notre partenaire Allegria

Il y a quelques temps le Domaine Allegria à Pézenas s'est associé avec le restaurant le Cigalon à Genève pour une soirée spéciale accord mets-vin assez originale. Voici le descriptif de leur menu.

En entrée, une trilogie de thon, saumon et huître servis en paupiette, accompagnés du Cinsault Abuelo 2012, vin rouge du domaine. Les tanins du Cinsault Abuelo sont très souples, le vin a un côté iodé et salin en bouche qui s'accorde très bien avec ces produits de la mer.

Ensuite une crevette sauvage rôtie sur un lit de papaye verte, accompagnée d'un Tribu d'A blanc 2012. L'association est superbe avec les notes de fenouil du vin. La papaye verte apporte un côté acidulé qui donne une grande vivacité au plat.

En plat principal, un filet de rouget barbet sur un lit de riz noir du Piémont, accompagné de la cuvée La Belle Histoire 2009. Sur la chair puissante du rouget, le vin révèle des tanins veloutés, une intensité aromatique somptueuse.

En dessert, une poire pochée aux épices servie avec le Miel de Monastrel 2011, un vin rouge naturellement doux.

Bien sûr avec une palette extraordinaire de mets culinaires les possibilités d'association sont infinies : ça ne nous facilite pas la tâche pour choisir le vin parfait d'autant plus qu'il y a autant d'accords possibles que de convives à table, le goût étant un élément très personnel. Mais pas de panique, la bonne nouvelle c'est que pour trouver la perle rare il faut faire des essais... avouez qu'il y a pire comme contrainte

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Cette année nous avons attribué 2 prix : le premier sélectionné par le jury Gourmet Odyssey, et le deuxième par vous-même sur Facebook.

Pour l'équipe Gourmet Odyssey le choix n'a pas été facile, il y avait de très bons candidats et le débat a été long ! Bravo à Guillaume Gilleron, le gagnant Facebook et à Jeremy Blackwell le prix du jury Gourmet Odyssey, dont voici les photos.

Chaque gagnant recevra un magnum de vin du domaine où se trouvent leurs pieds de vigne adoptés ! Merci à tous les participants et pour vos votes, et rendez-vous l'année prochaine pour le concours 2015 !

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Rappel sur la conservation des vins

Pour une bonne conservation et un vieillissement optimal l'idéal est une température la plus constante possible, entre 10° et 14°. Il faut également adapter l'hygrométrie selon la durée de conservation de vos vins. Le vin doit également être protégé de la lumière et des vibrations car celles-ci peuvent perturber son vieillissement. Pour plus d'informations sur le sujet vous pouvez vous référer à notre article « Conserver et servir le vin ».

Les caves à vin, pour quels amateurs et quels usages?

Etant donné la variété de prix et de fonctionnalités votre choix se fera donc en premier lieu en fonction de votre budget mais aussi selon la personne à qui vous destinez ce cadeau : un grand amateur de vins avec des flacons précieux à conserver aura des besoins plus précis qui nécessiteront des modèles plus aboutis qu'une personne qui souhaite simplement mettre ses vins à température avant de les servir.

Il existe globalement trois types de caves : celles dites de vieillissement qui vont maintenir une température constante, généralement aux alentour de 12°C, dans toute l'armoire et qui sont principalement faites pour stocker du vin sur de longues périodes. La capacité peut varier d'environ 170 à 230 bouteilles pour les plus grandes, et selon le type de bouteilles que vous y stockez.

Les caves dites de service à l'inverse ne sont faites que pour stocker des bouteilles de façon temporaire, dans la plupart des cas quelques jours ou heures avant de les servir pour les mettre à la bonne température. Elles sont généralement de capacité réduite (environ 10 à 40 bouteilles, selon le type de bouteilles) ; les modèles les plus aboutis proposent des zones de températures différentes et des capacités légèrement supérieures, qui permettent par exemple de chambrer des vins rouges, et de refroidir des vins blancs.

Enfin les caves polyvalentes permettent de faire tout cela avec des zones de températures variant de 7 à 20°C. Certaines permettent même de mettre des bouteilles ouvertes sous vides pour les conserver quelques jours de plus. Attention toutefois, polyvalence ne veut pas toujours dire qualité et efficacité ! Quels sont donc les critères à prendre en compte avant d'acheter une cave ?

Les questions à se poser

La première chose à vérifier donc est l'usage que vous ou votre proche va faire de cette armoire : stockage des vins sur la durée, simple mise à température ou stockage d'une quantité limitée de bouteilles, etc. Selon cette utilisation vous choisirez un des trois types d'armoires dont nous avons parlé et aussi si cette cave doit avoir une fonctionnalité de contrôle de l'hygrométrie. C'est moins important pour du stockage de courte durée que pour faire vieillir de bonnes bouteilles sur le long terme.

Ensuite l'emplacement de cette cave joue aussi un rôle important : selon le lieu elle pourra être plus ou moins grande donc contenir plus ou moins de bouteilles. Son look sera aussi plus ou moins important : pour les mordus de design attention tout de même aux portes vitrées, qui ne sont pas recommandées pour un vieillissement sur le long terme. Mieux vaut leur préférer des portes pleines ou des vitres traitées anti-UV pour protéger au mieux le vin de la lumière.

Enfin il est aussi important de vérifier la classe énergétique de votre armoire, qui doit être obligatoirement mentionnée. Ce classement de A à C est spécifique aux armoires à vin et il est utile de le vérifier car la consommation d'une armoire peut vite devenir importante.

Enfin, le mieux est d'aller voir ces armoires si vous le pouvez car votre choix peut aussi prendre en compte des critères auxquels on pense un peu moins : le bruit du moteur si vous vivez dans un espace réduit, l'esthétique si votre armoire va trôner au milieu d'un salon ou d'une cuisine, etc.

Bien que la gamme d'armoires soit vaste, en se basant sur ces quelques critères de base vous devriez pouvoir cibler le type d'armoire et de budget que vous souhaitez y consacrer : il ne vous reste plus qu'à commencer votre shopping !

Liens utiles

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Tout a commencé avec un hiver globalement doux et humide sur la plupart des régions viticoles de France, à l'exception du Languedoc où le Domaine Allegria rapportait un manque d'eau dans la région fin mai, qui risquait de faire baisser les rendements de la vigne. Mais pour les autres régions le problème était inverse : avec la douceur de la météo le cycle végétatif de la vigne prenait de l'avance, alors que les travaux dans la vigne eux prenaient du retard. En effet avec des sols humides difficile de travailler avec les machines dans les rangs de vigne, et avec les pluies les traitements contre les principaux parasites de la vigne, oïdium et mildiou, devaient être multipliés ; ces traitements en agriculture biologique sont uniquement des traitements de contact qui n'entrent pas dans la plante. A chaque pluie il faut donc recommencer à traiter.

Heureusement l'ensemble des régions a ensuite bénéficié d'un printemps très clément, plutôt chaud et sec, qui a permis non seulement de bien terminer les travaux de taille, ébourgeonnage, épamprage, relevage et les traitements, mais également à la floraison de se faire dans des conditions optimales, sauf pour le Médoc où le Château Beau Rivage signalait un peu de coulure sur les vignes de la région en raison de quelques pluies au moment de la floraison. En fin de printemps et début d'été la vigne a profité de ce beau temps pour accélérer sa croissance et à cette période de l'année nos partenaires vignerons ont constaté entre 1 et 4 semaines d'avance sur un millésime classique selon les régions. Ils ont pu aussi limiter le nombre de traitements à faire et concentrer leurs efforts sur les travaux essentiels pour guider la vigne dans sa croissance.

L'été qui a suivi a apporté son lot d'inquiétudes avec un temps maussade globalement en juillet et août et donc un net ralentissement de la croissance et de la maturation des baies de raisin. Il y aura tout eu : les pluies ont fait craindre des risques de mildiou avec l'humidité, les quelques jours de forte chaleurs, notamment dans le Bordelais ont fait subir un peu d'échaudage aux raisins, et enfin les orages ont également fait quelques dégâts même si nos vignobles partenaires ont été heureusement peu touchés.

De quoi préoccuper nos vignerons, mais heureusement la fin du mois d'août et tout le mois de septembre ont été magnifiques, et ont permis non seulement de rattraper le retard végétatif et d'atteindre de belles maturités et un état sanitaire parfait pour les raisins, mais en plus de vendanger dans des conditions idéales la plupart du temps. D'ailleurs les participants aux Journées Vendanges Gourmet Odyssey ont pu en profiter également !

D'après les premières impressions de nos partenaires vignerons, la quantité n'est pas maximale mais elle est meilleure que sur les 2 millésimes précédents, et surtout le plus important la qualité du raisin elle est au rendez-vous. Alors que la vinification bat son plein dans la plupart des caves les vignerons estiment pour le moment que le millésime sera bon, voire très bon !

Ce sont les conditions climatiques, le terroir et le vigneron qui font d'un vin ce qu'il est ; simplement personne ne maîtrise le premier élément. C'est donc le talent de viticulteur puis de vinificateur du vigneron qui fait toute la différence ! Côté vinification rien n'est encore joué et il nous faudra encore quelques mois au moins pour évaluer pleinement la qualité de ce nouveau vin : et c'est aussi ce qui fait la beauté de chaque millésime et rend le vin si passionnant !

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Les parents adoptifs peuvent laisser libre cours à leur imagination : tout est permis sur ce thème! La soumission de photos pour le concours 2014 est maintenant terminée.

Nous avons eu la tâche difficile de retenir après bien des débats 15 finalistes pour peut-être gagner un magnum du domaine d'adoption de leur pieds de vigne : pour visualiser leurs photos rendez-vous sur notre Page Facebook.

Il y aura 2 gagnants : le premier sélectionné par le jury Gourmet Odyssey, et le deuxième par vous-même. Pour voter pour votre photo préférée rendez-vous sur Facebook et likez la photo qui vous plaît le plus (attention à ne pas liker l'album tout entier !)

Rendez-vous pour voter avant le 7 décembre minuit, heure française !

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Domaine Stentz-Buecher

• 27 novembre - 1er décembre, Salon des Vignerons Indépendants, Paris - Porte de Versailles, Pavillon 7/1 - Allée E Stand 5.
  Cliquez ici pour une invitation gratuite.

• 14-19 décembre, marché de Noël Alsacien, Paris - Parvis de la gare de l'Est de 9h à 20h sauf dimanche (10-19h). Entrée Libre.

Domaine Chapelle

• 24-25 octobre, Dégustation « Foire aux Vins », Quimper - Chapiteau F.A.V., 150, Route de Brest. Entrée libre.

• 7-9 novembre, Salon des Vins et Produits du Terroir, Sévrier - Complexe d'Animation, Route d'Albertville. Pour en recevoir une invitation, merci de nous contacter.
• 19-21 novembre, Dégustation Privée à l'Hôtel Napoléon, Paris - 40 Avenue de Friedland. Pour en recevoir une invitation, merci de nous contacter.
• 21-22 novembre, Dégustation au Cellier de Saint-Pierre, Troye. Entrée libre.

• 29 novembre, Dégustation à la Maison du Vin, Claix. Entrée libre.

• 28-30 novembre, Natura Bio - Salon des Vins Bio, Lille - Grand Palais. Cliquez ici pour une invitation gratuite.

• 13-14 décembre, Dégustation Pressoir du Gâtinais, Amilly. Entrée libre.

Château Beau Rivage

• 6 novembre, Dégustation de Crus Bourgeois du Médoc, Lille - Hospice Comtesse. Cliquez ici pour une invitation gratuite.
• 7-10 novembre, Salon des Vignerons Indépendants, Reims - Parc des Expos, Allée R stand 17. Cliquez ici pour une invitation gratuite.
• 14-17 novembre, Salon des Vignerons Indépendants, Lille - Grand Palais, Allé E Stand 56. Cliquez ici pour une invitation gratuite.
• 27 novembre - 1er décembre, Salon des Vignerons Indépendants, Paris - Porte de Versailles, Pavillon 7/1 - Allée C stand 11. Cliquez ici pour une invitation gratuite.

Domaine Jean-Marc Borcard

• 14-17 novembre, Marché des Plaisirs Gourmands, Mâcon - Parc des Expositions, Halls A et B.

• 28-29 novembre, Grand Tasting, Paris - Carrousel du Louvres.

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Plutôt que d'hésiter des heures sur quelle bouteille choisir pour vos proches amateurs de vin, transformez-les en apprentis vigneron le temps d'un millésime et laissez-les faire leur vin : vous leur adoptez des pieds de vigne dont ils peuvent suivre l'évolution à distance et faire des bouteilles avec une étiquette personnalisée.

Et s'ils sont du genre à vouloir mettre la main à la pâte, pourquoi ne pas les envoyer dans un de nos domaines partenaires pour une ou plusieurs journées, afin de faire connaissance avec leurs pieds de vigne, de les bichonner, rencontrer le viticulteur et en plus partager un repas vigneron et une dégustation des vins du domaine ?

Toutes les journées sont accessibles aux novices comme aux amateurs éclairés et sont centrées sur la découverte du métier fascinant de vigneron et la participation aux travaux de la vigne ou de la cave pour mieux comprendre comment on élabore le vin. Il existe trois types de journées : Découverte, pour tout savoir de la culture de la vigne, Vendanges pour récolter et mettre en cuve son raisin, et Vinification pour suivre le vigneron dans son travail en cave pour fermenter, élever et assembler le vin avant la mise en bouteille.

Tous nos partenaires vignerons sont certifiés en agriculture biologique ou biodynamie et passionnés par leur métier. Ils vous accueilleront avec plaisir pour vous parler de leur travail au quotidien, de leurs méthodes pour choyer le raisin, et de leur engagement pour des vignobles plus sains.

Pour en découvrir plus sur notre approche unique et authentique du vin et du terroir, découvrez nos coffrets vin personnalisés pour les fêtes. Vos proches se souviendront sans doute longtemps de ce cadeau original et participatif : cette année pour une fois, les bottes ne serviront pas qu'au Père Noël !

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Très souvent entre juillet et août le vigneron a fait la plus grande partie de son travail dans la vigne, et il s'octroie un peu de repos avant les vendanges car c'est le moment où les grappes de raisin continuent doucement leur maturation ce qui ne requiert que peut d'intervention humaine. Il ne reste souvent qu'à espérer que la météo soit clémente jusqu'à la récolte ! Cette année, avec l'été mitigé que nous avons eu ça n'a pas toujours été le cas, et des traitements additionnels on été nécessaires à cause de la pluie, notamment dans le Bordelais et la Bourgogne.

En ce moment c'est l'effervescence dans les domaines viticoles : il faut préparer l'organisation de la récolte en recrutant des équipes qui vont vendanger dans le cas des récoltes manuelles, et des tractoristes pour les vendanges mécaniques. Ce n'est pas toujours chose aisée : les vignerons sont à la recherche de personnel disponible sur toute la durée des vendanges (entre 1 et 3 semaines suivant les régions, les domaines et les années) et flexible sur les dates de travail car selon la météo il faut adapter les heures et jours travaillés.

Il faut également aménager le chai et la cuverie pour l'arrivée de la nouvelle récolte. Cela implique quelques fois de mettre en bouteille le millésime précédent pour libérer des cuves, mais aussi de nettoyer les cuves, les fûts vides, de ranger le chai, de disposer les machines utilisées pendant les vendanges comme le tapis de tri des raisins à la réception du chai, l'égrappoir, les tapis et bacs pour déplacer les raisins fraîchement cueillis, les tracteurs, etc. Bref, on fait place nette pour l'arrivée du nouveau millésime !

La partie la plus difficile maintenant : estimer la date de début des vendanges ! Elles ont lieu le plus souvent entre août et octobre dans notre hémisphère Nord (elles peuvent avoir lieu plusieurs fois par an dans certaines zones plus proches de l'équateur avec des saisons froides et chaudes moins marquées). Cette année dans la plupart des cas on est un peu en avance et certains de nos partenaires commencent les vendanges dès cette semaine.

De nos jours le vigneron est équipé pour analyser précisément la composition de ses grappes de raisin et décider de lancer la récolte. Il utilise notamment un mustimètre, petit appareil qui permet de mesurer la densité du moût contenu dans le raisin, et donc estimer le degré d'alcool probable du futur vin. Il faut surveiller ce degré car il est très réglementé dans le cadre des Appellations d'Origine Contrôlées.

Mais les outils les plus fiables et les plus utilisés par les vignerons restent sans aucun doute leurs yeux et leur bouche : en effet à l'approche des vendanges ils parcourent leurs vignes tous les jours pour regarder et goûter leurs baies de raisin et déterminer si elles sont arrivées à maturité. C'est donc avant tout un choix personnel du vigneron pour chaque parcelle !

Ça y est, le moment tant attendu est arrivé : il est temps de passer à la récolte... mais se sera l'objet de notre prochain article ! Sachez enfin que si vous souhaitez essayer de vendanger, vous pouvez venir participer à une Journée Vendanges avec Gourmet Odyssey !

Autres articles sur les vendanges : Petite histoire des vendanges

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